Pour permettre à nouveau l’utilisation du chemin communal de CONVENANT GLAIREC en PENVERN, la commune de TREBEURDEN est intervenue pour des travaux d’entretien.
Les arbres qui s’étaient effondrés et obstruaient le chemin ont été coupés. Le ruisseau, qui avait été détourné dans le chemin en le rendant impraticable, a retrouvé son état naturel.
Madame Odile GUERIN, adjointe à l’environnement, a respecté ses engagements et a parfaitement assuré la réhabilitation de ce chemin.
Dans un courrier de 2013, les services de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DTTM) déclaraient rapporter les propos de monsieur JULIENNE selon lesquels il a détruit le talus à l’aplomb de la source et a fait s’écouler l’eau dans le chemin prétextant une remise à l’état initial.
Pourtant, nos anciens n’avaient pas pour habitude de détourner les ruisseaux pour rendre impraticables les chemins qu’ils empruntaient.
Les conséquences étaient de rendre impraticable ce chemin ancestral, d’en interdire l’accès au public et d’accréditer à la demande d’échange en faveur de ce particulier.
En réponse au courrier que j’ai adressé aux services de la DTTM, ces derniers m’ont informé de la solution qui a été retenue sur proposition de madame GUERIN. Ces travaux ont été réalisés par la commune en accord avec ces services de l’État.
Pour justifier l’abandon de cette portion de chemin à un particulier, d’aucuns prétendaient : “le défaut d’entretien provient du fait de l’inutilité du chemin”. Ce chemin étant maintenant entretenu, ceux-ci ont-ils maintenant changé d’avis?
Monsieur Julienne s’est invité dans la procédure du Tribunal administratif initiée par AVENIR DU LITTORAL. Celle-ci démontre l’illégalité de la notion d’échange d’un bien communal, l’absence d’intérêt général et le seul but de satisfaire un intérêt particulier.
A défaut de répondre à l’objet de cette requête, monsieur JULIENNE, dans son mémoire au TA, fait diversion avec le ruissellement de l’eau dans le chemin. Il indique : prétendre qu’il serait l’auteur du détournement de l’eau dans le chemin, serait diffamatoire .
A défaut d’argument, la menace est sous-jacente, cette personne portera-t-elle plainte contre les services de la DTTM?
Mais encore, où est la cohérence? Ce particulier se plaint de l’engorgement du chemin à l’entrée de sa propriété et fustige la commune lorsqu’elle supprime le problème !
Ah j’oubliais, l’objectif du propriétaire de cette résidence secondaire est de s’accaparer d’une portion de bien public, pour cela il convenait d’apporter de l’eau à son moulin !
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